Il est temps. Grand temps !
Quelques nouvelles, peut-être.
Une, allez. Et elle est d'importance !
Au milieu de mon inexistence blogosphérique - Ceux qui me suivent tremblaient de m'avoir perdue définitivement, happée par le côté obscur de ma seconde passion, à savoir la course à pied -
Au milieu de mon silence, l'air de rien, j'ai un peu travaillé.
Pas de sortie de patron. Je vous annoncerai plus tard ce qu'il advient de Valantoine, mais les patrons disponibles le sont toujours ici.
Pas un patron. Mais 29 patrons, taillés du 2 ans au 10 ans.
Tous réunis, en taille réelle, dans un livre qui sort à point nommé pour le fameux salon Création et Savoir-Faire Parisien !
J'ai l'immense plaisir de vous annoncer ici, et enfin, la naissance de ce bébé qui a pris - réellement! - 9 mois pour voir le jour.
Je me suis associée à la très efficace Agnès, créatrice de Cortèges de Garance, pour, qu'à deux, nous puissions vous offrir l'assurance du meilleur dans le domaine du Cortège d'enfants d'honneur.
Les Editions Eyrolles nous ont fait l'insigne honneur de nous faire confiance. Nous pensons offrir, dans ce livre foisonnant, un nombre d'informations, techniques et stylistiques assez conséquent pour qui souhaite réaliser des tenues pour enfant dans le cadre d'un mariage, d'une cérémonie ou…pour tous les jours !
Autours de thèmes variés, marin, printanier, grand siècle ou urbain, nous déclinons toute une collection de robes, pantalons, vestes ou chemisiers mais aussi d'accessoires originaux accompagnés de fiches de montages claires et précises ainsi que de pistes pour vous aider à créer des modèles selon vos envies.
Les Cortèges de Garance et Valantoine vous invitent à découvrir leur ouvrage au Salon Création et Savoir Faire de la Porte de Versailles, sur le stand de la maison d'éditions Eyrolles KO81, Hall 6.
Ateliers dédicaces jeudi 19 novembre, de 10 heures à 13h - vous nous trouverez en la compagnie de la talentueuse Loelem qui présente son ouvrage "accessoires bébé au fil des saisons". Dédicaces le samedi après-midi 14h 17h ainsi que dimanche matin.
Plus de détails ici.
Et puis.
A chaque fête son lot de cadeaux !
Valantoine, avec Eyrolles et le Salon CSF vous offre
-Un livre et une entrée pour le salon
-Un livre
-Une entrée pour le salon CSF
-Une pochette complète de la robe Margot Valantoine du 3 mois au 2 ans
-Une aquarelle originale Valantoine tirée d'un modèle du livre.
Pour cela, rien de plus simple: Rendez-vous sur le compte Instagram Sophielastyliste "Likez" le visuel du concours puis laissez un commentaire ! Partagez si vous le désirez. Le tirage au sort sera effectué lundi soir.
Pour jouer en ligne et doubler votre chance, n'hésitez pas à participer au concours sur la page des Cortèges de Garance, ici !
Merci !
13/11/2015
14/07/2015
A cent pour sang !
Hep ! pssss.
Oui
Je suis là.
On dirait pas. Trop.
Mais vous verrez.
J'ouvre juste une parenthèse. Parce que je sue sang et eau sur des logiciels qui n'auront pas ma peau :)
Hier alors que j'avais envie d'une pause j'me suis dit.
Si j'allais donner mon sang ?
Allez-y les gens.
Donner du sang sauve des vies !
Que vous soyez en vacances ou au travail, prenez une heure de votre temps.
Visualisez en un clic tous les établissements ICI
-Et téléchargez l'application ludique, pratique et facile sur votre mobile ! -
Et vous les Parisiens, lorsque vous aurez terminé d'applaudir chaudement nos militaires, filez vers les Invalides, face au terminal Air France pour donner votre sang aux blessés de guerre !
100 pour sang citoyens !
Libellés :
j'ai des choses à vous dire
26/04/2015
La femme qui décida de passer une année au lit
Ce titre et moi on n'était pas vraiment fait pour s'entendre.
Décanillée tôt et couche tard.
Eva aux antipodes.
Il y a de ces lectures qui tombent à pic.
Si je l'avais lue avant. Si je l'avais laissée traîner. Elle n'aurait pas eu le même sens. Elle m'aurait peut être même horripilée.
Eva. 50 ans. Mère au foyer. Un mari. Brian. Des jumeaux étudiants surdoués, Brian jr et Brianne.
Eva. Rangée, ordonnée, consciencieuse, appliquée, femme d'intérieur bien policé et d'extérieur bien lissé.
.." elle attrapa la casserole, sortit de la cuisine, gagna le salon, et renversa la soupe sur son précieux fauteuil. Puis elle monta à l'étage. Dans sa chambre, sans ôter ni ses vêtements ni ses chaussures, elle se mit au lit et y resta un an. "
Le sujet de la femme au foyer en pleine rébellion pré- ménopause n'est pas une nouveauté. La façon de le traiter l'est. Ce roman est une petite perle d'humour so British, et, by appointment to me, il offre une galerie de personnages ciselés et une brassée de questionnements pas si loufoques sur le fonctionnement de couple et sur nos relations aux autres tout bêtement.
Eva fait le vide. Lit, chambre blanche. Une fenêtre sur l'extérieur - Un sycomore -
Son antre devient le centre névralgique de la maison. Les personnages s'y rencontrent. le mari et sa maîtresse, maman et belle-mère, un ouvrier, Alexander, le grand, qui deviendra rapidement l'ange -noir et rasta - d'Eva, la copine de fac manipulatrice, et puis le monde entier, attiré par cette femme qu'on dit sage et presque Sainte. Tous, sauf les enfants, nombrilistes et totalement insensibles !
La marche huilée de la maison tenue par Eva est chamboulée. Les gens insignifiants deviennent des essentiels, tandis que la famille proche ne compte plus vraiment.
Le lit d'Eva c'est sa liberté de penser. Sa vie passée s'y raconte - Génialissime description des 24 heures précédents Noël - Sa vie présente s'y suspend pour mieux y dessiner sa vie future.
L'écriture de Sue Townsend - Auteur à succès pour ado - est simple et son texte est bourré de subtilités, traits d'humour et finesse d'esprit. Noms de personnages, acteurs, quiproquos, comique de situation et dialogues, l'humour Anglais charme le lecteur sans jamais en alourdir l'intrigue.
Eva me trouble, Brian me navre, les enfants m'attristent, l'ange noir me ravit. Je prends parti.
Eva fait une pause. Comme nous serions bien inspiré de le faire parfois, afin de s'interroger sur le poids que nous faisons porter aux autres mais aussi sur l'utilité d'une toute petite poussière de comportement, presque insignifiante et pourtant si lumineuse.
"La bienveillance…C'est ça hein ? La bienveillance, tout simplement "
"La femme qui décida de passer une année au lit"
Sue Townsend
Ed Charleston et en poche chez 10/18
Décanillée tôt et couche tard.
Eva aux antipodes.
Il y a de ces lectures qui tombent à pic.
Si je l'avais lue avant. Si je l'avais laissée traîner. Elle n'aurait pas eu le même sens. Elle m'aurait peut être même horripilée.
Eva. 50 ans. Mère au foyer. Un mari. Brian. Des jumeaux étudiants surdoués, Brian jr et Brianne.
Eva. Rangée, ordonnée, consciencieuse, appliquée, femme d'intérieur bien policé et d'extérieur bien lissé.
.." elle attrapa la casserole, sortit de la cuisine, gagna le salon, et renversa la soupe sur son précieux fauteuil. Puis elle monta à l'étage. Dans sa chambre, sans ôter ni ses vêtements ni ses chaussures, elle se mit au lit et y resta un an. "
Le sujet de la femme au foyer en pleine rébellion pré- ménopause n'est pas une nouveauté. La façon de le traiter l'est. Ce roman est une petite perle d'humour so British, et, by appointment to me, il offre une galerie de personnages ciselés et une brassée de questionnements pas si loufoques sur le fonctionnement de couple et sur nos relations aux autres tout bêtement.
Eva fait le vide. Lit, chambre blanche. Une fenêtre sur l'extérieur - Un sycomore -
Son antre devient le centre névralgique de la maison. Les personnages s'y rencontrent. le mari et sa maîtresse, maman et belle-mère, un ouvrier, Alexander, le grand, qui deviendra rapidement l'ange -noir et rasta - d'Eva, la copine de fac manipulatrice, et puis le monde entier, attiré par cette femme qu'on dit sage et presque Sainte. Tous, sauf les enfants, nombrilistes et totalement insensibles !
La marche huilée de la maison tenue par Eva est chamboulée. Les gens insignifiants deviennent des essentiels, tandis que la famille proche ne compte plus vraiment.
Le lit d'Eva c'est sa liberté de penser. Sa vie passée s'y raconte - Génialissime description des 24 heures précédents Noël - Sa vie présente s'y suspend pour mieux y dessiner sa vie future.
L'écriture de Sue Townsend - Auteur à succès pour ado - est simple et son texte est bourré de subtilités, traits d'humour et finesse d'esprit. Noms de personnages, acteurs, quiproquos, comique de situation et dialogues, l'humour Anglais charme le lecteur sans jamais en alourdir l'intrigue.
Eva me trouble, Brian me navre, les enfants m'attristent, l'ange noir me ravit. Je prends parti.
Eva fait une pause. Comme nous serions bien inspiré de le faire parfois, afin de s'interroger sur le poids que nous faisons porter aux autres mais aussi sur l'utilité d'une toute petite poussière de comportement, presque insignifiante et pourtant si lumineuse.
"La bienveillance…C'est ça hein ? La bienveillance, tout simplement "
"La femme qui décida de passer une année au lit"
Sue Townsend
Ed Charleston et en poche chez 10/18
Libellés :
lecture
07/04/2015
01/02/2015
Aime
Au début j'ai occulté.
Pas mes oignons.
J'ai pensé que c'était une inoffensive étincelle.
Mais mon fil d'actualité FB est truffé de départs de feu. C'est un brûlis, un brûlot, un complot accompli.
Je suis absente depuis presque deux ans de l'actualité créative.
Vie privée, autres envies.
Je prépare mon retour. Il sera fidèle, autre ligne, grand projet.
Je me sens de ce fait éloignée et pourtant si proche de ce grand sujet qui ébranle le microcosme blogosphérisque couturier.
J'ai mal pour une fille que j' M.
Je ne fais aucun lien ici, pour ne pas en rajouter.
M, c'est une fille que j'admire beaucoup. Professionnellement parlant.
Il y en a d'autres.
J'admire les bûcheuses. Celles qui partent d'une envie et qui la transforment en joli succès par le travail et la passion.
J'admire celles qui se lancent avec leur talent. Pas avec des coups de lèche et de prêches bien placés .
A travail bien fait, succès mérité.
Et puis.
Une faille. Dans le flot de ce titanesque travail, une coquille, une faiblesse.
Je n'utilise jamais. Jamais de patron du commerce. Je suis de celles qui feraient couler l'ensemble des artisans du patronage.
Si je dois coudre un vêtement, je repars systématiquement d'une base vierge. Jamais, jamais d'un patron existant. Même des miens.
Le B-A ba absolu à mon sens pour garantir l'inédit. Et puis je travaille plus vite ainsi.
Je suis une anti-patron. Je déteste les patrons. Si.
Alors. Bon.
Avis absolument, totalement, et objectivement vide sur le sujet du qualitatif des patrons des copines.
En revanche.
Je mesure pleinement la masse de travail, d'heures, d'abnégation et de passion que représente le succès de M. C'est quasi inhumain. Un sacerdoce.
Rien de plus basique qu'un patron basique - Là est l'erreur. Risque inouï de sortir un modèle rabâché - Rien de plus commun qu'une erreur de saisie. Travailler non stop c'est risquer la confusion.
Si il y a eu erreur. Si.
Elle est humaine.
Si il y a eu faiblesse. Si.
Elle est stupide. Elle n'est pas méchante. Elle n'est pas vicieuse.
Il y a des réussites hypocrites.
Celle de Marie n'est pas de celles ci. Et de loin.
Je suis triste.
Mais je l'M.
C'est tout ce que j'avais à dire.
Je vous sonne un jour prochain.
Des bises.
Pas mes oignons.
J'ai pensé que c'était une inoffensive étincelle.
Mais mon fil d'actualité FB est truffé de départs de feu. C'est un brûlis, un brûlot, un complot accompli.
Je suis absente depuis presque deux ans de l'actualité créative.
Vie privée, autres envies.
Je prépare mon retour. Il sera fidèle, autre ligne, grand projet.
Je me sens de ce fait éloignée et pourtant si proche de ce grand sujet qui ébranle le microcosme blogosphérisque couturier.
J'ai mal pour une fille que j' M.
Je ne fais aucun lien ici, pour ne pas en rajouter.
M, c'est une fille que j'admire beaucoup. Professionnellement parlant.
Il y en a d'autres.
J'admire les bûcheuses. Celles qui partent d'une envie et qui la transforment en joli succès par le travail et la passion.
J'admire celles qui se lancent avec leur talent. Pas avec des coups de lèche et de prêches bien placés .
A travail bien fait, succès mérité.
Et puis.
Une faille. Dans le flot de ce titanesque travail, une coquille, une faiblesse.
Je n'utilise jamais. Jamais de patron du commerce. Je suis de celles qui feraient couler l'ensemble des artisans du patronage.
Si je dois coudre un vêtement, je repars systématiquement d'une base vierge. Jamais, jamais d'un patron existant. Même des miens.
Le B-A ba absolu à mon sens pour garantir l'inédit. Et puis je travaille plus vite ainsi.
Je suis une anti-patron. Je déteste les patrons. Si.
Alors. Bon.
Avis absolument, totalement, et objectivement vide sur le sujet du qualitatif des patrons des copines.
En revanche.
Je mesure pleinement la masse de travail, d'heures, d'abnégation et de passion que représente le succès de M. C'est quasi inhumain. Un sacerdoce.
Rien de plus basique qu'un patron basique - Là est l'erreur. Risque inouï de sortir un modèle rabâché - Rien de plus commun qu'une erreur de saisie. Travailler non stop c'est risquer la confusion.
Si il y a eu erreur. Si.
Elle est humaine.
Si il y a eu faiblesse. Si.
Elle est stupide. Elle n'est pas méchante. Elle n'est pas vicieuse.
Il y a des réussites hypocrites.
Celle de Marie n'est pas de celles ci. Et de loin.
Je suis triste.
Mais je l'M.
C'est tout ce que j'avais à dire.
Je vous sonne un jour prochain.
Des bises.
Libellés :
humeur,
j'ai des choses à vous dire
29/12/2014
" Un petit boulot"
A coups d'incisives grinçantes et acérées, Levison mord juste.
Jake est cynique. La société l'est. L'industrie et ses gros bonnets le sont. Hâtons nous de rendre les choses de la vie légères, de peur d'être obligé d'en crever !
Quelque part aux USA, perdue du côté des Grands lacs, une petite et miteuse ville industrieuse agonise. La dernière usine a claqué la porte au nez de ses derniers ouvriers pour se refaire une santé à coup de bas salaires au Mexique. Jake perd avec son maigre emploi, sa bagnole, son abonnement aux chaînes câblées - Unique fenêtre sur le monde - et sa blonde, partie avec un portefeuille plus épais.
Ken Gardocki, bookmaker-vendeur d'armes sous le manteau-dealer, est le seul homme prospère à la ronde. Quand les rats crèvent de "fin", les truands youplaboum.
Ken truande mais tient à garder les mains propres. Quand il décide de liquider sa femme, ex stripteaseuse qui s'envoie en l'air avec un pilote de ligne, il propose à Jake de se charger du "petit boulot", contre effacement de sa -copieuse - dette de jeu plus un petit en-cas sympathique.
Jake accepte sans ciller. Et puis quoi ? Dans cette grande farce économique qu'est devenue l'Amérique des années Bush, l'immoralité est d'une banalité affligeante. Il n'y a pas de sot boulot, et surtout pas d'état d'âme.
Le petit boulot est si bien exécuté que Gardocki passera diverses commandes à un Jake zélé et si épris de justice qu'il nettoiera également l'homme de main de son commanditaire qu'il trouve louche ou le petit chef puant qui menace de virer son copain pompiste.
Mais Jake est un super bon gars en vrai. Ce n'est pas compliqué. Il rêve de tenir un épicerie avec son pote. Il veut une femme, une gentille, qui lui ferait un gosse. Il veut s'abonner au câble, racheter une caisse, se chauffer, un peu.
Ce bouquin là, c'est "The full monty" façon Tarantino. De la misère trash. De l'hémoglobine en gros sabots coloriés d'humour noir.
Iain Levison m'avait déjà tapé dans le coeur littéraire avec le très grand "Arrêtez-moi là", il marque l'essai avec une plume cyanurée juste comme il faut et un esprit dont le caustique ne se dément pas !
"Un petit boulot"
Iain Levison ( Américain )
Editions Liana Levi 10 €
Jake est cynique. La société l'est. L'industrie et ses gros bonnets le sont. Hâtons nous de rendre les choses de la vie légères, de peur d'être obligé d'en crever !
Quelque part aux USA, perdue du côté des Grands lacs, une petite et miteuse ville industrieuse agonise. La dernière usine a claqué la porte au nez de ses derniers ouvriers pour se refaire une santé à coup de bas salaires au Mexique. Jake perd avec son maigre emploi, sa bagnole, son abonnement aux chaînes câblées - Unique fenêtre sur le monde - et sa blonde, partie avec un portefeuille plus épais.
Ken Gardocki, bookmaker-vendeur d'armes sous le manteau-dealer, est le seul homme prospère à la ronde. Quand les rats crèvent de "fin", les truands youplaboum.
Ken truande mais tient à garder les mains propres. Quand il décide de liquider sa femme, ex stripteaseuse qui s'envoie en l'air avec un pilote de ligne, il propose à Jake de se charger du "petit boulot", contre effacement de sa -copieuse - dette de jeu plus un petit en-cas sympathique.
Jake accepte sans ciller. Et puis quoi ? Dans cette grande farce économique qu'est devenue l'Amérique des années Bush, l'immoralité est d'une banalité affligeante. Il n'y a pas de sot boulot, et surtout pas d'état d'âme.
Le petit boulot est si bien exécuté que Gardocki passera diverses commandes à un Jake zélé et si épris de justice qu'il nettoiera également l'homme de main de son commanditaire qu'il trouve louche ou le petit chef puant qui menace de virer son copain pompiste.
Mais Jake est un super bon gars en vrai. Ce n'est pas compliqué. Il rêve de tenir un épicerie avec son pote. Il veut une femme, une gentille, qui lui ferait un gosse. Il veut s'abonner au câble, racheter une caisse, se chauffer, un peu.
Ce bouquin là, c'est "The full monty" façon Tarantino. De la misère trash. De l'hémoglobine en gros sabots coloriés d'humour noir.
Iain Levison m'avait déjà tapé dans le coeur littéraire avec le très grand "Arrêtez-moi là", il marque l'essai avec une plume cyanurée juste comme il faut et un esprit dont le caustique ne se dément pas !
"Un petit boulot"
Iain Levison ( Américain )
Editions Liana Levi 10 €
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lecture
01/12/2014
Brève Histoire de robe - Moulage dedans -
J'épargne au visiteur les contorsions d'usage pour un auto-moulage.
Le principe dans les faits est simple : Fermer provisoirement le dos et ouvrir une couture de côté pour ajuster le bustier et faire quelques incantations à la Déesse Cordula pour qu'il n'y ait aucune retouche à faire au dos.
A partir de là c'est presque plié.
Fond de robe baleiné monté sur doublure entière.
Pose de bolducs pour visualiser les drapés.
Valse des épingles sur bandes plissées, biaisées et / ou entrecroisées. Le moulage est avant tout une question de feeling.
On ferme le tout.
Emballez.
Soie crépon bleu Klein Gentleman du tissu St Pierre.
Baskets collection personnelle - On s'aime trop -
Le principe dans les faits est simple : Fermer provisoirement le dos et ouvrir une couture de côté pour ajuster le bustier et faire quelques incantations à la Déesse Cordula pour qu'il n'y ait aucune retouche à faire au dos.
A partir de là c'est presque plié.
Fond de robe baleiné monté sur doublure entière.
Pose de bolducs pour visualiser les drapés.
Valse des épingles sur bandes plissées, biaisées et / ou entrecroisées. Le moulage est avant tout une question de feeling.
On ferme le tout.
Emballez.
Soie crépon bleu Klein Gentleman du tissu St Pierre.
Baskets collection personnelle - On s'aime trop -
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